| Titre : | Pour un bon usage du médicament en Belgique (2010) |
| Type de document : | Article : texte imprimé |
| Dans : | SANTE CONJUGUEE (n° 52) |
| Article en page(s) : | pp. 11-16 |
| Note générale : | adres. |
| Langues: | Français |
| Catégories : | BELGIQUE | DROITS DU PATIENT | EFFET PERVERS | EXPERIMENTATION MEDICALE | FORMATION MEDICALE | INDUSTRIE PHARMACEUTIQUE | INFORMATION DU PATIENT | MALADIE | MEDICAMENT | PATIENT | POLITIQUE DE SANTE | PREVENTION | PROMOTION DE LA SANTE | RECHERCHE | SANTE | SANTE PUBLIQUE | STRATEGIE | THERAPEUTIQUE MEDICAMENTEUSE | |
| Résumé : | Le médicament n’est qu’un des moyens, parmi d’autres trop souvent laissés au second plan, dont disposent la médecine et la société pour améliorer la santé des gens. S’il peut avoir de grandes vertus, il est rarement dépourvu d’effets secondaires. De plus, le chemin qui mène de la recherche pharmacologique jusqu’à l’utilisation par le patient est miné d’intérêts contradictoires, notamment économiques, qui souvent entravent son bon usage. Le Groupe de recherche et d’action pour la santé (GRAS) en fait le constat et fait 15 propositions pour revenir à un bon usage du médicament |
| Note de contenu : | INTERVENANT|SCIENTIFIQUE |
Exemplaires
| Code-barres | Cote | Support | Localisation | Section | Disponibilité |
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| aucun exemplaire | |||||
