Titre : | Résistances à considérer l'alimentation et l'hydratation artificielle comme traitement médical en fin de vie (2006) |
Auteurs : | HARGOT K. ; UNITE RESIDENTIELLE DE SOINS PALLIATIFS SAINT-FRANCOIS ; CLINIQUE SAINTE-ELISABETH |
Type de document : | Article : texte imprimé |
Dans : | SANTE CONJUGUEE (n° 36) |
Article en page(s) : | pp. 119-123 |
Langues: | Français |
Catégories : | ALIMENTATION | ASPECT PSYCHOLOGIQUE | BELGIQUE | DIETETIQUE | ETHIQUE | nutrition | ROLE DE L'INFIRMIER | ROLE DU PERSONNEL DE SANTE | SANTE | SOINS INFIRMIERS | SOINS PALLIATIFS | traitement | |
Mots-clés: | IMAGE DE LA SANTE ; ALIMENTATION ARTIFICIELLE |
Résumé : | "La décision de pratiquer ou non une alimentation artificielle en fin de vie est difficile à prendre. N'y a-t-il pas un impératif de nourrir l'agonisant, un devoir que tout dans notre culture et nos émotions nous pousse à accomplir ? Mais pratiquer l'alimentation artificielle, n'est-ce pas aussi apaiser nos angoisses, nous donner l'illusion de ne pas abandonner la personne mourante et réintroduire une forme d'acharnement thérapeutique ? Il n'existe pas de ""bonne réponse"" à ces questions, seulement des pistes pour prendre une décision que le soignant devra assumer" |
Note de contenu : | INTERVENANT|SCIENTIFIQUE |
Exemplaires
Code-barres | Cote | Support | Localisation | Section | Disponibilité |
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aucun exemplaire |